IL DEBITO PUBBLICO ITALIANO

domenica 28 luglio 2013

Crocetta cambia idea sul Muos e scarica le mamme di Niscemi

Il sistema satellitare di difesa Usa non è più un pericolo per la salute (?) quindi si può fare, scrive l'assessore siciliano all'Ambiente. E subito riparte la protesta.



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Un dietrofront che ha del clamoroso. La Regione siciliana ha improvvisamente deciso di annullare le revoche alle autorizzazioni rilasciate dal precedente esecutivo per la costruzione del Muos, il sistema satellitare di difesa che gli Usa vorrebbero installare a Niscemi. Da sempre in prima linea a fianco dei cittadini, a partire dalla sua nomina a governatore, Rosario Crocetta, sembra aver radicalmente cambiato idea. È quanto si evince dalla nota dell'assessore all'Ambiente, Gaetano Gullo, con cui si formalizza la decisione, indirizzata al ministero della Difesa e in copia ai Department of the navy di Sigonella e Napoli. Immediata la replica degli attivisti guidati dal Comitato mamme No Muos che fino a ieri "combattevano" fianco a fianco con il governatore, con l'annuncio di un sit-in organizzato a Palermo per la giornata di domani.
Il documento fa riferimento alla relazione dell'Istituto superiore di sanità (Iss) che nega ripercussioni sulla salute umana e giunge alla conclusione che "non sussistono più i presupposti per l'applicazione del principio di precauzione". Si fa cenno anche alla comunicazione inviata martedì dal ministero della Difesa "indirizzata al presidente della Regione" con la quale si informa che "qualora la Regione alla luce della relazione dell'Iss riveda i provvedimenti di revoca adottati, il ministro prospetta di procedere alla consequenziale rinuncia alle impugnazioni precedenti dinanzi agli organi di giustizia amministrativi". Proprio domani la questione doveva essere esaminata dal Consiglio di giustizia amministrativa al quale si era rivolto il ministero dopo la bocciatura incassata dal Tar. Dal canto suo il Comitato mamme "No Muos" ha convocato una riunione urgente per stabilire le nuove iniziative di lotta da intraprendere. "Ci sentiamo tradite", ha detto la presidente del Comitato, Concetta Gualato: "Crocetta e l'assessore Lo Bello erano venuti a Niscemi sostenendo che avrebbero fermato i lavori del Muos, perché la salute viene prima di ogni cosa. Invitiamo il governatore a venire a Niscemi affinché sia lui stesso a comunicarci questa sua decisione".

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sabato 27 luglio 2013

Le syndrome du larbin

I) Définition
Chez un individu, le syndrome du larbin est un comportement pathologique visant à prendre systématiquement la défense des classes les plus favorisées au détriment de celles dont il est issu. Ce syndrome diminue les capacités d’analyse du larbin et se traduit par un blocage psychologique l’incitant à agir préférentiellement contre ses propres intérêts au profit de ceux qui l’exploitent.
II) Analyse des symptômes
L’amour démesuré qu’affiche le larbin à l’égard des patrons, des rentiers ou des milliardaires, est l’acte de foi qui structure son discours. Le larbin agit sans discernement de ce qui pourrait être bon pour lui, il intellectualise le débat pour tenter de nous convaincre que piocher chez les riches est toujours la pire des solutions, quand bien même il en serait bénéficiaire. Les arguments économiques qu’il invoque inlassablement n’ont pas servi à forger sa conviction, le syndrome du larbin est malheureusement une vocation qui se trimbale dès le plus jeune âge et contre laquelle il n’existe aucun remède. Le larbin n’a pas choisi d’aimer les riches, il aime les riches parce qu’il est un larbin. De tendance nettement libérale le larbin est celui qui vous vante les bienfaits du bouclier fiscal alors même qu’il ne paye pas d’impôts. C’est encore le même larbin qui voudrait réduire ou supprimer l’impôt sur la fortune même s’il sait qu’il ne sera jamais concerné par la question. Un écervelé victime du syndrome du larbin n’a pas de conscience politique, il vote instinctivement dans l’intérêt de ceux qui l’exploitent pour s’attirer leur bienveillance. Le larbin estime que l’argent qui lui fait défaut, est beaucoup plus utile dans le coffre d’un riche qui pourra ainsi le réinvestir beaucoup plus utilement qu’il ne l’aurait lui même dépensé. Le larbin cautionne tous les sacrifices et les plans d’austérité dont il pourrait être l’objet comme la baisse des salaires, ou encore l’augmentation de l’âge de la retraite même si son travail ne lui convient d’aucune façon et que ses maîtres ne lui offrent aucune perspective d’améliorer sa condition.
III) Hypothèses sur l’origine du syndrome
Deux théories principales s’affrontent pour expliquer l’origine du syndrome : la thèse génétique et la pathologie mentale.
Après des siècles d’esclavage et de féodalité, les larbins pourraient être le produit d’une sélection artificielle des soumis par leurs maitres. La transmission génétique des caractères aurait favorisée la sélection d’une souche vivace de larbins domestiques au profit d’une nouvelle espèce de primates : l’homo larbinus.
Selon cette hypothèse le mécanisme en oeuvre serait similaire à la sélection des chiens et des chevaux mais directement appliqué à l’homme.
Pour les tenants de la pathologie mentale le caractère héréditaire n’est pas retenu, il s’agirait plutôt d’un trouble qui se développerait dès l’enfance. Le processus s’aggraverait au passage à l’âge adulte lorsque le sujet prend conscience de la médiocrité de sa condition, le larbin développerait des stratégies inconscientes visant à restaurer un équilibre cognitif pour justifier l’acceptation de sa subordination. Le larbin finit ainsi par s’identifier à ses maîtres en s’imaginant appartenir au corps social qui l’exploite.
IV) Quelques exemples
Le larbin réagit vivement à toute discussion qui ose remettre en cause les privilèges des plus fortunés, incapable de se livrer à une argumentation convaincante, ses messages distillent la peur et les intimidations dont il est l’objet. En réaction le larbin brandit instinctivement une succession de termes caractéristiques qu’il essaye de glisser dans son discours tels que : communisme, bolchévisme, tirage vers le bas, la Stasi, Corée du Nord, isolement, dictature socialiste, évasion fiscale, paupérisation, millions de morts...
Les quelques messages qui suivent portent la quasi-signature "littéraire" d’un larbin digne de ce nom :
- Les riches il faut les bichonner, les câliner, si on les spolie trop ils s’installeront ailleurs.
- Le Bolchévisme ? Non merci les Russes ont essayé en 17...
- Comme en Corée du Nord ou au Zimbabwe ?
- La fortune de Bill Gates ? Ca fait 3 pizzas par Africain et après on fait quoi ?
- Si les riches disparaissent on pourra plus leur vendre des produits de luxe !
- Ma patronne paye trop de charges !
- Les parachutes dorés c’est une compensation pour dissuader de saboter davantage l’entreprise, divisé par le nombre de salariés ça fait beaucoup moins que dans une seule poche.
V) Population affectée
Le syndrome du larbin ne prolifère pas seulement chez les plus démunis intellectuellement comme on pourrait le penser, il affecte une large fourchette de la population sans corrélation apparente avec le niveau d’étude (20% de la population pense faire parti des 1% les plus riches). Les larbins sévissent en masse sur les forums d’économie dont l’étude de cette discipline semble en aggraver les symptômes. Le paysage politique avec l’élection d’un président au service des ploutocrates révèle un seuil de contamination critique dans la patrie des droits de l’homme. La situation est grave mais peut-être pas complètement désespérée et les symptômes ne cessent d’évoluer au fil de l’actualité, aussi aidez-nous à maintenir et à diffuser ce document pour lutter efficacement contre ce fléau des temps modernes.
Pour la santé publique.

Julien ARLANDIS
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venerdì 26 luglio 2013

Euro-rigore ad ogni costo: ora si prepara anche l’esercito

L’Italia sta per subire uno choc socio-economico così forte da provocare disordini e rivolte: la profezia che Gianroberto Casaleggio ha affidato a Gianluigi Nuzzi è così realistica che se ne starebbe occupando persino l’esercito, nell’eventualità di dover rinforzare l’ordine pubblico in previsione di sommosse, provocate dal regime europeo dell’austerity. Lo sostengono Eugenio Orso e Anatolio Anatoli, che nel loro blog analizzano la recentissima “Direttiva ministeriale in merito alla politica militare per l’anno 2013” emanata dal ministero della difesa, retto dall’ex Pdl Mario Mauro, ora montiano. L’aspetto sconcertante, osservano i due analisti, riguarda l’impegno diretto delle forze armate verso obiettivi non propriamente militari: e cioè il rispetto assoluto dei trattati europei dell’austerity a cominciare dalla intangibilità dell’Eurozona, condizioni che vengono elevate al rango di elementi-chiave per la sicurezza nazionale.
La premessa è fosca, in una cornice di guerra imminente: «Non può essere ignorata la possibilità, per
quanto remota, di un coinvolgimento del paese e Eurogendfor, gendarmeria europea antisommossadel sistema di alleanze del quale siamo parte in un confronto militare su vasta scala e di tipo “ibrido”, ovvero che implichi sia operazioni convenzionali, sia operazioni nello spettro informativo, sia operazioni nel dominio cibernetico», afferma il ministero. «Elemento irrinunciabile della politica nazionale è anche il pieno rispetto degli impegni assunti in sede europea». Impegni che il ministero della difesa considera «finalizzati a garantire la stabilità di lungo periodo della moneta comune e, con essa, dell’intero sistema economico comunitario». Proprio la stabilità dell’Eurozona «deve essere considerata come essenziale per il perseguimento del fine ultimo, costituito dalla sicurezza del sistema internazionale e delle relazioni politiche ed economiche che in questo si sviluppano».
L’Italia, pertanto, «deve operare con determinazione per azzerare il deficit di bilancio e ricondurre nei tempi previsti il debito pubblico entro i limiti stabiliti a livello europeo». Strano che ad occuparsi di questo tema non sia il ministero dell’economia, ma quello della difesa. «Il mantenimento di una consapevole disciplina di bilancio lungo un arco di tempo pluriennale – conclude la nota – rappresenterà, quindi, un vincolo ineludibile nella definizione delle scelte in materia di difesa che, negli anni, saranno adottate». Mettendo insieme questi punti e sapendo leggere fra le righe, scrivono Orso e Anatoli, il quadro che ne esce è a dir poco preoccupante: «Obbiettivo primario è il pareggio di bilancio, il mantenimento e la difesa dell’euro a qualsiasi costo (anche a costo del sangue della popolazione) e il conseguente mantenimento dell’Italia, checché ne dica il popolo, nel lager Un reparto dell'esercito in tenuta antisommossadell’Eurozona, fondamentale spazio globalista in cui rinchiudere i popoli europei adattandoli, con le buone o con le cattive, al nuovo ordine neocapitalistico».
Il vincolo ineludibile della disciplina di bilancio nel lungo periodo informa anche le scelte in materia di difesa e di impiego delle forze armate, perché, sempre leggendo fra le righe, «la minaccia risulta chiara: se il popolo ridotto allo stremo si ribellerà – a partire dall’autunno inverno di quest’anno, poniamo – non si esiterà a impiegare la forza, armata, per ridurlo a più miti consigli, in un possibile conflitto “ibrido” in cui molte saranno le armi impiegate, accanto a quelle convenzionali». Ed ecco che quella “possibilità remota” di coinvolgimento militare in un conflitto «diverrebbe drammaticamente concreta», al punto che «la forza militare nazionale sarebbe impiegata, da uno spregevole governo collaborazionista degli occupatori del paese, contro lo stesso popolo italiano, a vantaggio, come si scrive nel testo riportato, della stabilità di lungo periodo della moneta Alpini già schierati a Chiomonte contro i No-Tavcomune, controllata da entità private euroglobaliste, nonché del mantenimento di una consapevole disciplina di bilancio (ormai recepita in Costituzione) lungo un arco di tempo pluriennale».
Per Orso e Anatoli, il messaggio è inequivocabile: «In presenza di disordini sociali estesi, ai quali la repressione poliziesca e dei carabinieri non riuscirà a far fronte, scenderanno in campo le forze armate». Scenario possibile? «Se ti tolgono il lavoro, la sicurezza, la possibilità di un minimo di pianificazione dell’esistenza e persino il cibo», è facile che si possa ricorrere all’uso di armi magari improprie, per «spaccare tutto, cercando di fermare i tuoi nemici», scrivono i due blogger, che accusano i politici italiani di essere «collaborazionisti dell’euro-nazismo, dell’atlantismo, dell’Occidente, del libero mercato globale e della liberaldemocrazia». Autunno caldo: «Il rischio di estesi sociali disordini, in Italia, è quindi un rischio reale», anche se Letta e Napolitano «continuano a negare l’evidenza».

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mercoledì 24 luglio 2013

LETTA: AI CONFINI DELLA REALTA'

Letta: Italia poco competitiva, colpa economia in nero (?)

 

Letta: 'Tasse alte perché non pagano tutti'. Dl Fare: Camera,ok fiducia. Cambia norma manager 

 

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"Se ci si chiede perchè l'Italia è un Paese poco competitivo, rispondo perché l'economia in nero é così quantitativamente importante. Distorce la concorrenza e crea inefficienza". Lo ha detto il presidente del Consiglio Enrico Letta all'Agenzia delle Entrate.

"Il voto di fiducia alla Camera è un segnale molto importante".

Il governo promette "una lotta senza quartiere per recuperare le risorse ovunque esse siano, in Svizzera o nei paradisi fiscali. Lo faremo e lo faremo con forza e determinazione", ha sottolineato Letta durante visita all'Agenzia delle Entrate.

"Nel nostro paese le tasse sono troppo alte perché non tutti le pagano". Così il presidente del Consiglio, Enrico Letta, nel suo intervento all'agenzia delle entrate. Letta ha ribadito "l'impegno a usare tutti i soldi che verranno dalla lotta all'evasione per abbassare la pressione fiscale".
Poi Letta ha invitato ad un uso parsimonioso delle risorse pubbliche. Le risorse pubbliche vengono spesso utilizzate con "faciloneria", "senza verificare il rapporto tra le stesse e gli utilizzi, che non possono essere sballati o approvati solo perché c'è qualche lobby che vince alle due del mattino di fronte ad una Commissione stanca".

''Gli italiani che hanno portato i soldi all'estero devono sapere che il clima e' cambiato e che conviene anche a loro riportare i soldi in Italia perche' la situazione internazionale non consente piu' di avere le coperture che hanno avuto finora''.

La camera conferma la fiducia al governo Letta sul Dl Fare. La fiducia ha avuto 427 sì e 167 no.

E' in corso nell'Aula della Camera l'esame degli ordini del giorno al dl Fare. Gli ordini del giorno sono 250, quasi tutti di M5S, Sel e Lega. Il loro numero lascia presagire che l'Aula sarà impegnata nell'esame dei testi per tutta la giornata di oggi, e che si potrà andare avanti anche nella notte se il M5S confermerà il proprio ostruzionismo sul decreto. Solo dopo gli ordini del giorno l'Aula potrà passare alle dichiarazioni di voto finali: ogni deputato, a termini di regolamento, ha a disposizione mezz'ora per parlare in quella fase.
Franceschini, in Senato cambiata norma su manager - "Sarà cambiata in Senato" la norma del dl Fare che elimina il tetto allo stipendio dei manager delle aziende partecipate dallo Stato e non quotate. Lo ha detto il ministro per i rapporti con il Parlamento, Dario Franceschini, interpellato dal cronista a Montecitorio. La norma è stata inserita dalle commissioni Bilancio e Affari costituzionali durante l'esame del decreto.
Catricalà, troveremo i 20 mln per banda larga - I 20 milioni per la banda larga che non inseriti nel dl Fare saranno trovati e arriveranno con la legge di stabilità. Lo ha assicurato il viceministro dello Sviluppo, Antonio Catricalà. "Era un capitolo che bisognava trovare, dobbiamo recuperare i 20 milioni per la banda larga, che sono stati tagliati per necessità e non possiamo tornare indietro sulle promesse fatte". "Assolutamente sì, saranno trovati - ha detto Catricalà -: dobbiamo recuperare questi 20 milioni e questo sarà fatto nella legge di stabilità". A proposito della banda larga, Catricalà, a margine di un convegno sul futuro della rete, organizzato dalla Fondazione 'Italia protagonista', ha detto: "Stiamo recuperando bene: stiamo portando la banda larga al Sud e ci sono 388 milioni di fondi pubblici che servono per mobilitare un altro 30% di soldi privati per arrivare a 500 milioni". Sulla liberalizzazione del wi-fi, infine, il viceministro ha sottolineato che si tratta di "un passo avanti. Non so chi ha fatto il pasticcio - ha aggiunto - ma è stato risolto con buonsenso".

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I PRIMI AD INCENTIVARE L'EVASIONE FISCALE E' PROPRIO LO STATO, CARO LETTA, FARE "IMPRESA" IN ITALIA  PIU' CHE UN IMPRESA E DIVENTATO UN SUICIDIO FISCALE VISTO CHE L'UTILE E' TASSATO AL 68%

Avete capito il sor Letta&C. come rigirano la frittata. L'Italia va male a causa degli evasori fiscali. Non perchè abbiamo una classe politica iniqua e incapace. Non perchè la tassazione sull'utile d'impresa è al 68% e impedisce alle aziende di sopravvivere, neanche di svilupparsi. Io lo vorrei vedere il sor Letta, se fosse a capo di una piccola o media impresa, che si deve attenere a 130 adempimenti fiscali all'anno, come farebbe a stare sul mercato bene, pagando i dipendenti, i contributi relativi, le materie prime, il trasporto del prodotto etc. etc. con un margine utile del 32%. Un giudice di Firenze ha sentenziato che è lecito non pagare l'IVA allo stato, se l'azienda non ha i soldi per farlo, ed ha assolto l'imprenditore che si era trovato in questa situazione. ECCO PERCHE' L'ITALIA VA MALE, I POLITICI, SEMPRE CON LE TASCHE PIENE DI SOLDI, GUADAGNANO MEDIAMENTE 6 VOLTE QUELLO CHE GUADAGNA UN CITTADINO ITALIANO, VIVONO FUORI DALLA REALTA', NON DEVONO FAR QUADRARE IL BILANCIO A FINE MESE, TANTO CI SONO UNA MASSA DI "PECORONI" CHE CONTINUANO A VOTARLI E A PAGARLI PER FARSI PRENDERE PER IL CULO. "CARISSIMO" SOR LETTA, ABBASSATE LE TASSE ALLE IMPRESE, COMPORTATEVI ETICAMENTE IN MANIERA CORRETTA ( NO UNO SCANDALO AL GIORNO), AMMINISTRATE BENE I SOLDI DEI CITTADINI SENZA FARE SPRECHI E SPECULAZIONI, NON RUBATE, NON AFFAMATE IL POPOLO,  E VEDRETE CHE GLI ITALIANI LE TASSE LE PAGANO. CONTINUATE COME STATE FACENDO, E VEDRETE QUANTE LEGNATE  PRENDERETE DAL POPOLO ESASPERATO! 

Oliviero Mannucci

Movimento Popolare Liberazione Nazionale "Culo a strisce" 

P.S.-Facciamo un  calcolo di quanti soldi si sono presi i partiti in maniera illecita negli ultimi 20 anni, quanti soldi sono stati sprecati in opere pubbliche improbabili, quanti conti cifrati hanno i partiti e molti politici nei cosidetti "paradisi fiscali"   tante altre "belle cosette" ed ecco che viene fuori il vero motivo della crisi italiana. I politici rubano oamministrano male e a pagare sono sempre i cittadini. 


Bulgaria: deputati sotto assedio in Parlamento... e in Italia? Tutti ar mare!!!!





SOFIA (WSI) - Una trentina di deputati, tre ministri e alcuni giornalisti sono stati sotto assedio per circa otto ore al Parlamento bulgaro per la protesta di un nutrito gruppo di manifestanti che da 40 giorni contestano il governo e "l'oligarchia" al potere nel paese. Circa 2.000 persone, secondo un reporter sul posto, hanno circondato il Parlamento, dove erano riunite tre Commissioni per discutere del bilancio dello Stato. Intorno alle 2.30 della notte, la polizia ha forzato una barriera eretta dai manifestanti per consentire il passaggio di alcune camionette delle forze dell'ordine. Alcuni ministri e i deputati del Partito Socialista e del Partito di minoranza turca Mdl, nella notte, hanno potuto lasciare l'edificio assediato. Molti altri, però, sono rimasti all'interno ed hanno potuto lasciare il Parlamento solo dopo un paio d'ore. In totale, 109 persone sono rimaste bloccate all'interno della sede dell'Assemblea: una trentina di deputati, i ministri dell'Economia Dragomir Stoinev, delle Finanze Petar Tchobanov e del Lavoro Hassan Ademov, alcuni giornalisti e membri del personale del Parlamento. Almeno nove persone, di cui due agenti, sono rimaste ferite, negli scontri tra manifestanti e polizia, secondo un bilancio fornito da fonti sanitarie locali. (TMNews)




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martedì 23 luglio 2013

Euro, arriva la conferma dell’UE: ci hanno sempre truffato

di Francesco Filini 


Finalmente arriva la risposta all’interrogazione presentata dall’Europarlamentare Marco Scurria sulla natura giuridica dell’€uro, e finalmente arriva la conferma: ci stanno truffando. Ci hanno sempre truffati. Ma andiamo per ordine.



Marco Scurria aveva chiesto chiarimenti sulla risposta data dalla commissione europea alla prima interrogazione sulla proprietà giuridica dell’euro presentata dall’On. Mario Borghezio, nella quale si affermava che nella fase dell’emissione le banconote appartengono all’Eurosistema, mentre nella fase della circolazione appartengono al titolare del conto sulle quali vengono addebitate. Attenzione perchè le parole negli atti ufficiali e nel linguaggio tecno-eurocratico vanno soppesate per bene. Quindi il commissario Olli Rehn rispondeva a Borghezio che la proprietà delle banconote cartacee (dove troviamo ben impressa in ogni lingua dell’Unione la sigla della Banca Centrale Europea) è dell’EUROSISTEMA. Ma cos’è quest’Eurosistema?
“L’Eurosistema è composto dalla BCE e dalle BCN dei paesi che hanno introdotto la moneta unica. L’Eurosistema e il SEBC coesisteranno fintanto che vi saranno Stati membri dell’UE non appartenenti all’area dell’euro.”
Questa è la definizione che si legge sul sito ufficiale della BCE. Quindi le Banche centrali nazionali stampano le banconote e si appropriano del loro valore nominale (ad Es. se stampare un biglietto da 100 ha un costo fisico per chi lo conia di 0,20 centesimi – valore intrinseco – le BCN si appropriano anche del valore riportato sul biglietto stampato). E l’On Scurria chiedeva quali fossero le basi giuridiche su cui poggiava l’affermazione del Commissario Olli Rehn:
Interrogazione con richiesta di risposta scritta E-000302/2012
alla Commissione
Articolo 117 del regolamento
Marco Scurria (PPE)
Oggetto: Natura giuridica della proprietà dell’euro
In risposta ad un’interrogazione scritta sul medesimo tema presentata dall’on. Borghezio fornita il 16 giugno 2011, la Commissione informa il collega che “al momento dell’emissione, le banconote in euro appartengono all’Eurosistema e che, una volta emesse, sia le banconote che le monete in euro appartengono al titolare del conto su cui sono addebitate in conseguenza”.
Può la Commissione chiarire quale sia la base giuridica su cui si basa questa affermazione?
Nei tempi stabiliti dal Parlamento Europeo arriva la risposta:
IT
E-000302/2012
Risposta di Olli Rehn
a nome della Commissione
(12.3.2012)
L’articolo 128 del trattato sul funzionamento dell’Unione europea costituisce la base giuridica per la disciplina dell’emissione di banconote e monete in euro da parte dell’Eurosistema (costituito dalla Banca centrale europea e dalle banche centrali nazionali). La proprietà delle banconote e delle monete in euro dopo l’emissione da parte dell’Eurosistema è disciplinata dalla legislazione nazionale vigente al momento del trasferimento delle banconote e monete al nuovo proprietario, ossia al momento dell’addebito del conto corrente bancario o dello scambio delle banconote o monete.
Olli Rehn non fa altro che ribadire che dopo l’emissione, ossia dopo la creazione fisica delle banconote o più verosimilmente dell’apparizione in video delle cifre sui terminali dell’Eurosistema (totalmente a costo zero, se si esclude l’energia elettrica che mantiene accesi i computers…) la proprietà dei valori nominali appartiene al nuovo proprietario, ovvero a chi ha accettato l’addebito, a chi ha accettato di indebitarsi. Non solo. Olli Rehn, per giustificare l’affermazione secondo la quale rispondeva a Borghezio che l’Euro appartiene nella fase dell’emissione all’Eurosistema, cita l’articolo 128 del Trattato sul funzionamento dell’Unione Europea, dove nel comma 1 si legge:
La Banca centrale europea ha il diritto esclusivo di autorizzare l’emissione di banconote in euro all’interno dell’Unione. La Banca centrale europea e le banche centrali nazionali possono emettere banconote. Le banconote emesse dalla Banca centrale europea e dalle banche centrali nazionali costituiscono le uniche banconote aventi corso legale nell’Unione.
E’ chiarissimo. Non c’è scritto da nessuna parte che la proprietà giuridica dell’euro emesso appartiene alla BCE o alle BCN. C’è soltanto scritto che la BCE può autorizzare l’emissione di euro a se stessa e alle BCN, dovendo controllare l’inflazione nella zona euro, così come stabilito dal Trattato di Maastricht. Ribadisce che solo l’Eurosistema può stampare le banconote o creare elettronicamente i valori nominali. Ma nessun riferimento giuridico, nessun trattato, nessuna legge, nessuna deliberazione, niente di niente ci dice che l’Eurosistema ha la facoltà di addebitare la moneta. E’ evidente che si appropria di questo grande ed esclusivo privilegio.
Ciò che diceva il prof. Giacinto Auriti trova finalmente conferma in un atto ufficiale



della Commissione Europea: le Banche Centrali si appropriano del valore della moneta perchè emettono solo addebitando, prestando, e il prestare è una qualità esclusiva del proprietario. Auriti chiamava questo meccanismo la truffa del signoraggio, parola sulla quale oggi si fa volutamente grande confusione, essendo per la massa direttamente associabile alla farfallina di Sara Tommasi e a qualche improbabile personaggio del mondo della politica che fa avanspettacolo che le si accompagna.


Non a caso l’indomito professore dell’Università di Teramo aveva denunciato la Banca d’Italia (organismo privato in mano per il 94% a banche commerciali e fondazioni bancarie) per truffa, associazione a delinquere, usura, falso in bilancio e istigazione al suicidio (grave piaga dei tempi nostri). Infatti la moneta, essendo il mezzo di scambio con il quale i cittadini riescono ad interagire tra loro dando vita al mercato, ovvero riuscendo a scambiarsi reciprocamente beni e servizi prodotti grazie al loro lavoro, deve appartenere esclusivamente a chi lavora, ovvero al popolo. Chi si appropria indebitamente del valore della moneta non fa altro che sfruttare il lavoro del popolo, lucrare sulle fatiche e sulla produzione altrui chiedendo che gli vengano pagati gli interessi sul prestito erogato. Questa è la gigantesca distorsione del nostro tempo, questa è la Grande Usura. E sotto il giogo di questa malefica piaga, sono finiti tutti i popoli d’europa che oggi pagano sulla propria pelle una crisi sistemica e indotta, figlia di un paradigma che dal 1694 (anno di costituzione della prima Banca Centrale, la Bank of England) si è imposto sulla vita dell’uomo.



Il meccanismo dell’indebitamento degli Stati da parte di organismi privati quali sono le Banche Centrali Nazionali è presente quasi ovunque. La Federal Reserve conia negli USA il dollaro, la Bank of England conia nel Regno Unito la Sterlina, la BCE conia l’Euro. Ma per quanto ci riguarda, esiste un’abissale differenza, che rende il sistema ancora più perverso: gli Stati dell’Unione non possono ricevere il credito direttamente dalla BCE (cosa che invece accade in modo diretto e subordinato negli altri paesi, ed Es. negli USA dove il Congresso ordina di stampare e la FED esegue) ma devono finanziarsi sul mercato, la parolina magica con cui ci prendono per i fondelli. In poche parole funziona così: la BCE crea denaro a suo piacimento, lo da in prestito alle banche commerciali (Draghi ha recentemente creato circa 1000 miliardi di euro prestandoli all’1%) e queste possono decidere se acquistare o meno i cosiddetti BOND, i titoli del debito (con tassi che vanno dal 5 al 7%). Non è possibile, quindi, per i paesi della UE attuare una propria politica monetaria, pur volendo accettare il meccanismo dell’indebitamento pubblico.
Tutto è nelle mani della Grande Usura. I signori della Goldman Sachs, banca d’affari



targata USA, siedono ai vertici delle grandi istituzioni bancarie, Mario Draghi ne è l’emblema. Ora hanno deciso di gestire direttamente anche le Istituzioni politiche, Mario Monti e Papademos sono i primi alfieri al servizio della Goldman.
La politica è messa sempre più all’angolo, ostaggio del sistema finanziario che controlla partiti, sindacati e mondo dell’informazione.
L’unica soluzione che abbiamo è quella di informare il più possibile. Questi meccanismi perversi devono essere conosciuti da tutti, nonostante il boicottaggio del sistema dell’informazione del regime usurocratico. Lo sforzo deve essere titanico, la volontà e la determinazione non devono piegarsi di fronte a niente.
A tutti noi un in bocca al lupo.


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lunedì 22 luglio 2013

Sanità Abruzzo, ex presidente Del Turco condannato a 9 anni e 6 mesi

I pm di Pescara avevano chiesto la condanna a 12 anni di reclusione. All'imprenditore Angelini, accusatore dell'ex governatore, inflitti 3 anni e mezzo. L'ex governatore dice di sentirsi umiliato: "Credo nella giustizia, ma troppe commistioni tra magistrati"

 

Ottaviano del Turco

Nove e anni e sei mesi per l’ex presidente dell’Abruzzo Ottaviano Del Turco. Il politico Pd ed ex socialista era imputato nel processo “Sanitopoli”, a Pescara, su presunte tangenti nella sanità privata abruzzese, che il 14 luglio 2008 lo ha portato in carcere. In un primo momento era stata data la notizia di una condanna a 9 anni e 9 mesi perché il presidente del Collegio del Tribunale di Pescara, Carmelo De Santis, alla lettura della sentenza aveva sbagliato: nel recitare i capi di imputazione e la pena per Ottaviano Del Turco, il presidente ha testualmente condannato l’ex governatore “a anni nove e mesi nove”, mentre sul dispositivo la pena è di 9 anni e 6 mesi. E’ stato, comunque, assolto da alcuni episodi di concussione “per non aver commesso il fatto” ed, inoltre, da un falso in atto pubblico e da un abuso “perché il fatto non costituisce reato”. Il Tribunale pescarese ha dichiarato Del Turco anche interdetto in perpetuo dai pubblici uffici, “in stato di interdizione legale durante la pena ed incapace di contrattare con le pubbliche amministrazioni per la stessa durata della pena principale”. 
Sempre il Tribunale, ha condannato l’ex presidente, insieme a Lamberto Quarta, Camillo Cesarone, Antonio Boschetti, Bernardo Mazzocca, Francesco Di Stanislao, Pierluigi Cosenza, Vincenzo Maria Angelini, al risarcimento dei danni non patrimoniali cagionati alla Regione Abruzzo, parte civile nel procedimento, ed in particolare al pagamento complessivo di 10 milioni euro. Del Turco in quota del 30%.
Del Turco: “Credo nella giustizia, commistioni tra magistrati”.  Parla di un “teorema”, dice di essere curioso di leggere “qual è la prova”, sostiene che i “provvedimenti” alla base dell’accusa di corruzioni “non li ho cambiati” e parla di “umiliazione” Ottaviano Del Turco, che ha sempre negato le accuse, perché i suoi 70 anni, la sua storia sono stati messi a confronto con quelli del suo accusatore, Vincenzo Maria Angelini. ”Credo nella giustizia: la mia speranza era – afferma commentando il verdetto – che si potesse dimostrare che un conto è il ruolo dell’accusa nel sistema penale italiano e un conto è la corte, che può decidere sulla base delle prove che ci sono e sulla base delle prove che non ravvede. Purtroppo così non è” commenta l’ex governatore. L’affondo contro la giustizia, spiega è perché si “ripropone un eterno problema, e cioè il rapporto che c’è tra la magistratura inquirente e la magistratura giudicante. Troppa commistione, troppa confusione: molto spesso diventano presidenti di corte magistrati che hanno fatto i pubblici ministeri e si portano appresso anche quella cultura. La cosa non è un peccato e non è nemmeno frutto dell’intervento del diavolo, quando uno cresce in un modo è difficile che possa cambiare quando sta per andare in pensione. Così succede in questo paese”, chiude Del Turco riferendosi alla separazione delle carriere. 


La Procura di Pescara aveva chiesto 12 anni di reclusione. I pm di Pescara Giampiero Di Florio e Giuseppe Bellelli avevano chiesto la condanna a 12 anni di reclusione. A Del Turco è accusato di associazione per delinquere, corruzione, abuso, concussione, falso. Le foto relative alla presunta tangente “delle mele”, che sarebbe stata consegnata dall’imprenditore Vincenzo Maria Angelinia Del Turco il 2 novembre 2007 a Collelongo (L’Aquila), era al centro della requisitoria. Angelini, nell’immagine, ha una busta in mano, che, così aveva raccontato l’imprenditore, era piena di banconote da consegnare al governatore. Fatta la ”consegna” il sacchetto sarebbe stato riempito di mele. Proprio Angelini è stato condannato a tre anni e mezzo, l’accusa aveva chiesto 3 anni. Angelini aveva chiesto 11 milioni di euro per danni morali. 
La perizia sulla foto con le foto relative alla presunta tangente “delle mele” I periti del Tribunale avevano concluso che le foto relative alla consegna di denaro erano state effettivamente scattate il 2 novembre 2007 avvalorando quanto dichiarato da Angelini. Nella loro perizia, gli esperti avevano presi in considerazione le date contenute nella macchinetta fotografica dell’imprenditore relative a immagini scattate precedentemente. Nella loro relazione, i consulenti si erano basati anche su uno studio sulle ombre.  
La difesa di Del Turco: “Sentenza condanna un protagonista morale”. ”È una sentenza che condanna un protagonista morale della vita politica istituzionale sindacale del nostro paese accusato di aver incassato sei milioni e 250 mila euro a titolo di corruzione dei quali non si è visto un solo euro”. L’avvocato Giandomenico Caiazza commenta duramente il verdetto: “Penso che sia un precedente assoluto nella storia giudiziaria perché si possono non trovare i soldi, ma si trovano le tracce dei soldi. Qui stiamo parlando di sei milioni e 250 mila dei quali un solo euro non è stato rintracciato. Per il resto abbiamo parlato nove ore per spiegare non che non ci fossero le prove ma che ci fossero ampie, piene e ricchissime prove delle calunnia che un galantuomo come Ottaviano Del Turco ha dovuto subire. Si vede – ha aggiunto – che è scritto che questo calvario deve seguire. Cosa che noi faremo impugnando questa sentenza. Abbiamo ascoltato la sentenza e la rispettiamo esterrefatti ma ne prendiamo atto”. 
Nell’estate del 2008 l’inchiesta decapitò la giunta regionale. Il 14 luglio 2008 l’inchiesta, poi chiamata “Sanitopoli”, decapitò la giunta regionale portando in carcere, oltre al governatore, assessori, consiglieri regionali e manager. Oltre a Del Turco erano stati rinviati a giudizio 27 imputati, tra persone e società. Tutto era nato da una inchiesta sulla cartolarizzazione dei debiti della sanità, effettuata da quello che veniva definito il deus ex machina bipartisan, Giancarlo Masciarelli a capo della finanziaria regionale che, nominato dal centrodestra, era stato poi confermato da Del Turco. Ad accusare Del Turco era stato Angelini, ex titolare della clinica Villa Pini, con le sue dichiarazioni sul pagamento di tangenti rigorosamente bipatisan. Nel corso di più interrogatori in procura, Angelini aveva dichiarato ai magistrati di aver pagato tangenti per circa 15 milioni di euro ad amministratori pubblici regionali sia di centrosinistra che di centrodestra, in cambio di agevolazioni. Secondo l’accusa dal 2003 al 2008 i vertici di due amministrazioni regionali, quella di Giovanni Pace prima e quella di Del Turco poi, sarebbero stati protagonisti di un malaffare che avrebbe portato pian piano al tracollo della sanità abruzzese. Già condannato, invece, a due anni di reclusione dalla Corte d’Appello dell’Aquila per il reato di concussione per induzione, l’ex presidente di centrodestra della Regione, Pace che era stato assolto da tutte le accuse contestate.  
Condannati l’ex parlamentare Aracu e due ex assessori.Il Tribunale ha inflitto altre sette condanne: all’ex parlamentare del Pdl, Sabatino Aracu, è stata inflitta la pena di 4 anni; all’ex manager della Asl di Chieti, Luigi Conga, 9 anni; all’ex segretario dell’ufficio di presidenza della Regione, Lamberto Quarta, 6 anni e 6 mesi; all’ex assessore regionale alla Sanità, Bernardo Mazzocca, 2 anni (pena sospesa); all’ex assessore regionale alle Attività produttive, Antonio Boschetti, 4 anni; all’ex capogruppo in consiglio regionale del Pd, Camillo Cesarone, 9 anni; a Francesco di Stanisalo, ex direttore dell’Agenzia sanitaria regionale, 2 anni (pena sospesa). Sono stati invece assolti l’ex assessore regionale alla Sanità nella giunta di centrodestra Vito Domenici, Angelo Bucciarelli, ex segretario dell’assessore Mazzocca, e Gianluca Zelli, ex amministratore Humangest
La difesa di Del Turco aveva chiesto l’assoluzione: “Non c’è traccia di un euro”. La difesa di Del Turco aveva chiesto l’assoluzione ”perché il fatto non sussiste”. L’avvocato Giandomenico Caiazza ha sostenuto che non vi fosse “la traccia di un solo euro. E’ un processo fondato sulle assurdità impossibili da affermare come fatti ragionevoli. Non c’è nulla di nulla. Non ci sono riscontri. La vita di Del Turco non si è modificata, ma è rimasta immutata nella sua sobrietà e semplicità”. In il legale si era soffermato anche sulla presunta tangente ”delle mele” che l’ex patron di Villa Pini avrebbe consegnato a Del Turco il 2 novembre 2007, a Collelongo (L’Aquila) e proprio riguardo alle foto relative all’episodio, aveva sottolineato che l’imprenditore volutamente ”sceglie di non documentare la dazione, lasciando invece indizi da cui si dovrebbe presumere che è avvenuta”. Parlando della busta delle mele con cui Angelini esce da casa Del Turco, il legale di Del Turco ha parlato di ”film di un calunniatore di professione”. Secondo l’accusa, l’ex governatore invece avrebbe intascato da Angelini 5 milioni e 500 mila euro insieme con l’ex segretario generale dell’Ufficio di presidenza della Regione, Lamberto Quarta e all’ex capogruppo del Pd, Camillo Cesarone.

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Grazie governo ladro!

Il lunedì nero della sanità con lo sciopero
dei medici: rinviati 30 mila interventi

 

Garantite solo le prestazioni di emergenza. La protesta contro i tagli e il blocco del contratto e il precariato

 

Giornata difficile e con disagi lunedì 22 per i cittadini negli ospedali e negli ambulatori di tutta Italia. Gli operatori, per i tagli pesanti, il blocco del turnover e del contratto, incroceranno le braccia per quattro ore all'inizio di ogni turno. Lo sciopero è stato indetto dai sindacati che rappresentano in tutto 115 mila medici e veterinari dipendenti del Servizio sanitario e anche i 20mila dirigenti sanitari, amministrativi, tecnici e professionali del Ssn. Domattina potranno saltare gli interventi programmati, le visite e gli esami diagnostici negli ospedali e nei servizi territoriali pubblici.

Sciopero dei medici 
Sciopero dei medici
 
I NUMERI - I medici protestano contro il blocco del contratto, fermo dal 2009, contro i tagli, il blocco del turnover, il precariato e la responsabilità penale in caso di cause. Con le stesse motivazioni avevano scioperato anche i ginecologi e le ostetriche e gli ortopedici. Secondo le stime dei sindacati potrebbero saltare circa 500mila controlli specialistici e 30mila interventi chirurgici ma saranno ovviamente garantite le prestazioni essenziali e quelle di emergenza e urgenza. Ma lo stop riguarderà anche i veterinari che fermando i controlli bloccheranno così le macellazioni dei capi di bestiame, migliaia di bovini, suini e ovini. Così come non ci saranno i consueti controlli per la sicurezza alimentare nei mercati ittici e in quelli ortofrutticoli.

LA PROTESTA - Previsto in mattinata anche un sit-in di protesta in camice bianco davanti all'ingresso della sede del Ministero dell'Economia. «Siamo al limite della sopravvivenza del sistema - ha spiegato Massimo Cozza, segretario nazionale dei medici della Cgil - e le condizioni di lavoro, la penuria di risorse, la dilagante precarietà che colpisce 10mila giovani medici che rischiano di invecchiare senza certezze lavorative, il blocco dei contratti imposto da oltre 4 anni e la strisciante privatizzazione della sanità impongono una reazione. Il sistema sanitario nazionale è sotto attacco, vittima di interessi economici e dell'ottusa logica dell'austerità senza diritti. Bisogna utilizzare questo sciopero - conclude Cozza - per spiegare che la nostra sanità non è nè costosa nè pletorica, che il contratto nazionale non è un privilegio ma uno strumento per riformare e innovare la sanità». Gravi preoccupazioni condivise da Costantino Troise, il segretario del principale sindacato degli ospedalieri, Anaao. A parlare, secondo il giudizio di Troise, sono i fatti: «Basta fare un giro nei Pronto soccorso, per capire a che punto siamo arrivati».

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Ci è pervenuta in redazione questa nota via internet sui costi della casta dei politici, ci sembra doveroso pubblicarla e renderla edotta ai nostri lettori, vista la manovra economica di cui tanto si parla in questi giorni. Gli Italiani sono disposti a fare sacrifici, ma quando si leggono certe cose, ci viene il dubbio che il sistema politico deve essere adeguato alla realtà di oggi e quindi variato iniziando dal vertice, in modo che se dobbiamo fare sacrifici debbono essere uguali per tutti, anche per la casta, che invece ci sembra sguazzi nell'oro! (leggi tutto)
Testo articolo che viaggia in internet:
....e i politici dovrebbero solo vergognarsi  !!!!!  

Per la prima volta viene tolto il segreto su quanto costa ai contribuenti l'assistenza sanitaria integrativa dei deputati. Si tratta di costi per cure che non vengono erogate dal sistema sanitario nazionale (le cui prestazioni sono gratis o al più pari al ticket), ma da una assistenza privata finanziata da Montecitorio. A rendere pubblici questi dati sono
stati i radicali che da tempo svolgono una campagna di trasparenza denominata Parlamento WikiLeaks. Va detto ancora che la Camera assicura un rimborso sanitario privato non
solo ai 630 onorevoli. Ma anche a 1109 loro familiari compresi (per volontà dell'ex presidente della Camera Pier Ferdinando Casini) i conviventi more uxorio. Ebbene, nel 2010, deputati e parenti vari hanno speso complessivamente 10 milioni e 117mila euro. Tre milioni e 92mila euro per spese odontoiatriche. Oltre tre milioni per ricoveri e interventi (eseguiti dunque non in  ospedali o strutture convenzionati dove non si paga, ma in cliniche private). Quasi un milione di euro (976mila euro, per la precisione), per
fisioterapia. Per visite varie, 698mila euro. Quattrocentottantotto mila euro per occhiali e 257mila per far fronte, con la psicoterapia, ai problemi psicologici e psichiatrici di deputati e dei loro familari. Per curare i problemi delle vene varicose (voce "sclerosante"), 28mila e 138 euro. Visite omeopatiche 3mila e 636 euro. I deputati si sono anche fatti curare in strutture del servizio sanitario nazionale, e dunque hanno chiesto il rimborso all'assistenza integrativa del Parlamento per 153mila euro di ticket. Ma non tutti i numeri sull'assistenza sanitaria privata dei deputati, tuttavia, sono stati desegretati. "Abbiamo chiesto - dice la Bernardini - quanti e quali importi sono stati spesi nell'ultimo triennio per alcune prestazioni previste dal 'fondo di solidarietà sanitarià come ad esempio balneoterapia, shiatsuterapia, massaggio sportivo ed elettroscultura (ginnastica passiva). Volevamo sapere anche l'importo degli interventi per chirurgia plastica, ma questi conti i Questori della Camera non ce li hanno voluti dare". Perché queste informazioni restano riservate, non accessibili? Cosa c'è da nascondere? Ecco il motivo di quel segreto secondo i Questori della Camera: "Il sistema informatizzato di gestione contabile dei dati adottato dalla
Camera non consente di estrarre le informazioni richieste. Tenuto conto del principio generale dell'accesso agli atti in base al quale la domanda non può comportare la necessità di un'attività di elaborazione dei dati da parte del soggetto destinatario della richiesta, non è possibile fornire le informazioni secondo le modalità richieste". Il partito di Pannella, a questo proposito, è contrario. "Non ritengo - spiega la deputata Rita Bernardini - che la Camera debba provvedere a dare una assicurazione integrativa. Ogni deputato potrebbe benissimo farsela per conto proprio avendo gia l'assistenza che hanno tutti i cittadini italiani.Se gli onorevoli vogliono qualcosa di più dei cittadini italiani, cioè un < br />privilegio, possono pagarselo, visto che già dispongono di un rimborso di 25 mila euro mensili, a farsi un'assicurazione privata.
Non si capisce perché questa 'mutua integrativà la debba pagare la Camera facendola gestire direttamente dai Questori". "Secondo noi - aggiunge - basterebbe semplicemente non prevederla e quindi far risparmiare alla collettività dieci milioni di euro all'anno".Mentre  a noi   tagliano  sull'assistenza  sanitaria e  sociale  è deprimente scoprire che alla casta  rimborsano  anche massaggi e chirurgie plastiche private - è il commento del presidente dell'ADICO, Carlo Garofolini - e sempre nel massimo silenzio di tutti.
 ...E NON FINISCE QUI...
 Sull'Espresso di qualche settimana fa c'era un articoletto che spiega che recentemente il Parlamento ha votato all'UNANIMITA' e senza astenuti un aumento di stipendio per i parlamentari pari a circa € 1.135,00 al mese. Inoltre la mozione e stata camuffata in modo tale da non risultare nei verbali ufficiali.

STIPENDIO Euro  19.150,00 AL MESE
STIPENDIO BASE circa Euro 9.980,00 al mese
PORTABORSE circa Euro 4.030,00 al mese (generalmente parente o familiare)
RIMBORSO SPESE AFFITTO circa Euro 2.900,00 al mese

INDENNITA' DI CARICA (da Euro 335,00 circa a Euro 6.455,00)  TUTTI ESENTASSE
+

TELEFONO CELLULARE gratis
TESSERA DEL CINEMA gratis
TESSERA TEATRO gratis
TESSERA AUTOBUS - METROPOLITANA gratis
FRANCOBOLLI gratis
VIAGGI AEREO NAZIONALI gratis
CIRCOLAZIONE AUTOSTRADE gratis
PISCINE E PALESTRE gratis
FS gratis
AEREO DI STATO gratis
AMBASCIATE gratis
CLINICHE gratis
ASSICURAZIONE INFORTUNI gratis
ASSICURAZIONE MORTE gratis
AUTO BLU CON AUTISTA gratis
RISTORANTE gratis (nel 1999 hanno mangiato e bevuto gratis per Euro 1.472.000,00).
Intascano uno stipendio e hanno diritto alla pensione dopo 35 mesi in parlamento mentre obbligano i cittadini a 35 anni di contributi (41 anni per il pubbico impiego )
Circa Euro 103.000,00 li incassano con il rimborso spese elettorali (in violazione alla legge sul finanziamento ai partiti), più i privilegi per quelli che sono stati Presidenti della Repubblica, del Senato o della Camera. (Es: la sig.ra Pivetti ha a disposizione e gratis un ufficio, una segretaria, l'auto blu ed una scorta sempre al suo servizio)

La classe politica ha causato al paese un danno di 1 MILIARDO e 255 MILIONI di EURO. La sola camera dei deputati costa al cittadino Euro 2.215,00 al MINUTO !!
Si sta promuovendo un referendum per l' abolizione dei privilegi di tutti i parlamentari............ queste informazioni possono essere lette solo attraverso Internet in quanto quasi tutti i massmedia rifiutano di portarle a conoscenza degli italiani......
bm fonte internet.

Fonte

Commento di Oliviero Mannucci: Avete capito come funziona! Noi paghiamo per le loro cure, e poi quando abbiamo bisogno noi, spesso dobbiamo pagare anche per noi, perchè questi LADRONI stanno tagliando i finanziamenti alla Sanità Pubblica. E chi non si può permettere di pagarsi le cure, in alcuni casi muore!!!! Ma che cazzo di Stato è questo?????


venerdì 19 luglio 2013

LADRI, LADRI E ANCORA LADRI!!!

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Fra due giorni è il mio compleanno, il 56esimo. Per favore, fatemi un regalo, aiutatemi a mandarli in galera!L’Italia è saccheggiata da un’orda di barbari, ladri, truffatori e farabutti.
 Quelli che, in un paese civile, dovrebbero risiedere nelle Patrie galere sono oggi ai vertici di istituti pubblici e privati, fantomatiche, e quanto mai inutili, fondazioni, banche e scranni parlamentari di ogni ordine e grado

 http://www.statoquotidiano.it/wp-content/uploads/2012/10/sVignetta-31_10_2012.gif

Molti di loro, troppi, avendo ormai raggiunto il limite d’età, siedono comodamente coccolati da pensioni e vitalizi milionarie che, alla faccia di una riforma Fornero devastante per gran parte dei pensionati/pensionandi/esodati, li ha riconosciuti “intoccabili” nei loro ingiusti privilegi.
Politici ladri che hanno legiferato per decenni con la sola preoccupazione di salvaguardare il loro conto in banca, quasi sempre estera e in paradisi fiscali, ovviamente.
Ladri che si sono suddivisi un bottino miliardario fatto da rimborsi elettorali, sovvenzioni ai partiti, stipendi e/o emolumenti milionari, buone uscite e liquidazioni faraoniche, pensioni di platino, tutto ciò innumerevoli volte più costose che in qualsiasi altro Stato, europeo o mondiale.
E tutto ciò con il beneplacito di giornalisti prezzolati, organi di controllo conniventi, giudici consenzienti e, ahimè, buona parte del popolo italiano sempre pronto a difendere le briciole, a loro lasciate, dalle orde di barbari sempre impegnati a razziare la Nazione.
Ecco dove son finiti i soldi degli italiani. Altro che “crisi” internazionale.
E’ dal dopoguerra, dal ’48, che la parte produttiva dell’Italia, ovvero chi produce reddito da lavoro dipendente o imprenditoriale, mantiene, costretta dalle leggi che i ladri hanno avuto modo di promulgare, decine di migliaia di parassiti.
Avete provato a calcolare quanto è costata, e sta costando, alla Nazione aver mantenuto, dal 1948 ad oggi, tutti i politici, i burocrati, i dirigenti pubblici, per i quali è inammissibile vederli ricoprire decine di incarichi, e relativi emolumenti milionari, senza essere colti da conati di vomito?
Quante legislature sono transitate da allora alla guida dei vari governi, quanti pseudo politici si sono avvicendati alla rovina del Paese, passandosi il testimone, ricco di privilegi attribuitisi in maniera truffaldina con la sfrontatezza di chi si avvale dell’immunità del potente di turno?
Ma nessuno si chiede come è possibile che ad un sig. Mastropasqua, giusto per fare un nome, venga consentito di “saccheggiare” le casse dello Stato, assieme a molti altri, ricoprendo contemporaneamente decine di incarichi istituzionali, in altrettanti enti statali, con uno stipendio di oltre 1.200.000€  l’anno (fonte Il Sole 24 Ore del 1 febbraio 2012)?
Ma come lui lo stanno facendo, decine, centinaia, migliaia di persone, legalizzate da loro stessi o da amici e parenti potenti ed altrettanto disonesti.
La preoccupazione dei ladri non è certamente quella di agire al fine di risollevare un paese sull’orlo del baratro, economico e sociale. La loro preoccupazione è quella di razziare le nostre tasche senza ritrovarsi, un giorno, a dover rendere conto di tutto il danno che hanno fatto, ed ancora stanno facendo, all’Italia ed ai suoi cittadini onesti.
Quale è la soluzione? C’è qualcuno in grado di interrompere questo scempio?
Non è più possibile affermare che si tratti di casi isolati, di solo poche persone disoneste, questo è un sistema di “caste” e “lobbies”, ben collaudato e protetto, per rubare soldi a tutte le persone oneste, per togliere un futuro ai loro figli, per consolidare un potere, basato sul malaffare e la conseguente razzia di denaro. Chi sono questi ladri?
  • La casta dei politici, chi più, chi meno, a tutti i livelli, i veri responsabili di una insulsa e dannosa condotta legislativa.
  • La casta dei dirigenti e burocrati di stato, dei “boiardi”, quasi sempre collocati per la loro posizione politica o appartenenza ad una famiglia potente o ad un “compagno di merende”.
  • La casta dei giornalisti, sempre pronti a non fare la corretta informazione se non proprio a dichiarare il falso.
  • La casta dei rettori universitari o titolari di cattedra, spessissimo collocati, per oscuri diritti di successione, direttamente dai propri genitori che, a loro volta, furono messi lì dai loro.
  • La casta  dei primari delle cliniche più prestigiose, pubbliche o private, quando poi non si scoprono aver condotto alla bancarotta anche “l’eccellenza” tanto pubblicizzata.
  • La casta dei giudici e dei magistrati, non quelli in prima fila a combattere contro le mafie, il malaffare e la delinquenza, ma quelli che avrebbero dovuto controllare ed impedire le ingiustizie a tutti i livelli, salvaguardando invece l’impunità dei disonesti.
  • La casta degli organi del potere esecutivo,  i capi di Polizia ed Esercito, anche loro adeguatisi a far parte del banchetto, ricordiamo lo stipendio del tanto compianto Manganelli.
Se oggi la politica non è in grado di ripristinare uno stato di necessaria legalità, basata sulla giustizia sociale e sulla redistribuzione dei redditi maltolti, è necessario che nasca un’entità, un’organizzazione, un movimento, socialmente rilevante, in grado di fare la corretta informazione, o meglio, contro-informazione, su quanto è accaduto nel nostro paese in questi decenni.
L’assenza di un riferimento politico/sociale, di una rappresentanza seria, porterà certamente, prima o poi, qualcuno, talmente disperato, a commettere violenze come è già successo.
Prima di arrivare a ciò, è necessario che vengano inoltrate, in tutte le opportune istanze giudiziarie, civili e penali, le denunce di furto, truffa e/o tradimento ai principi della Costituzione e ai danni dei cittadini italiani, da parte di quelle “caste” e “lobbies” che si sono rese responsabili del vero e proprio saccheggio dell’Italia.

Siro Vercesi

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In Italia non si premiano i più competenti, ma quelli più fidati

 

 
«Chi vigila sul vigilante?»: la vecchia, immortale domanda dei saggi antichi romani torna di estrema attualità dopo l'ennesimo scandalo di «mala-sorveglianza», quello sul «quasi-crack» del gruppo FonSai, che ha portato all'incriminazione e all'arresto della famiglia Ligresti

 http://carmagnola5stelle.files.wordpress.com/2012/04/banda-bassotti1.jpg

Intanto che la giustizia fa il suo corso (per modo di dire) la domanda si moltiplica per tre, visto che su FonSai vigilavano l'Isvap, la Banca d'Italia (per Banca Sai) e la Consob (per i titoli quotati) oltre ai collegi sindacali, ai consigli d'amministrazione (con tanto di amministratori indipendenti) alla società di revisione e ai «dirigenti preposti» alla regolarità contabile, insomma una pletora di sentinelle perennemente addormentate. Un cumulo di norme e adempimenti schiacciante si conferma inutile a prevenire il dissesto, se chi comanda sul serio – i soci di controllo i dirigenti che essi e solo essi nominano – non sono capaci o, peggio, imbrogliano. Ed ecco che il nostro gravosissimo ordinamento si conferma essere soltanto una zavorra sterile_
Ci si interroga, ci si scontra, ci si lacera sui «perché» di questo stato di cose. Verrebbe voglia di interpellare il «guru» della meritocrazia Roger Abravanel per chiedergli come mai in questo Paese vengono (non sempre ma assai spesso) scelti per fare gli sceriffi dei tipi che poi tendono ad accordarsi con i banditi; o per guidare le navi gente che si preoccupa di fare l'inchino al loro vecchio capo (forse per l'abitudine di leccargli i piedi, che gli ha fruttato i galloni da comandante) anziché pilotare in sicurezza il bastimento... O ancora degli ottantenni per «commissariare» aziende, dei politici di professione per presiedere società... Per quale motivo, insomma, la logica dello «spoils system», comune a tante democrazia evolute come ad esempio gli Stati Uniti, non riesce in Italia a compenetrarsi con la logica delle competenze? Perché una volta che si è giunti nella condizioni di scegliersi collaboratori fidati, o «garanti» seri e perbene ma di proprio gradimento, non ce li si sceglie anche bravi? Semplice: perché quelli bravi tendono a essere più indipendenti. E il potere in Italia premia gli «yesman». Non che all'estero siano tutte rose e fiori. Proprio gli Stati Uniti, un altro paese dove la normativa finanziaria è pesante, ha dato adito a decine di gravissimi scandali finanziari dove pure, e in molti casi, gli «sceriffi» come minimo dormivano e spesso rubavano. Come dire: tutto il mondo è paese e la grande nazione dei ladri è ubiquitaria. Ma con una differenza: altrove, e negli States in particolare, chi rompe paga. Paga prima, paga di più. E di solito cambia mestiere. Da noi, no.

Sergio Luciano  


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mercoledì 17 luglio 2013

L'Ungheria caccia il Fondo Monetario Internazionale dal paese!

http://www.ilnord.it/index.php?id_page=1

Budapest - Il governo ungherese ha deciso la chiusura dell'ufficio di Budapest del Fondo Monetario Internazionale. La notizia rappresenta un momento di profonda rottura nei già difficili rapporti fra Fmi e l'esecutivo nazionalista di Viktor Orban


Il governatore della banca centrale ungherese Mnb, Gyoergy Matolcsy, in una lettera indirizzata alla direttrice generale del Fondo monetario internazionale (Fmi) Christine Lagarde, ha chiesto la chiusura dell'ufficio di Budapest del Fmi. Motivo della richiesta, la circostanza che l'Ungheria estinguera' prima del termine previsto il debito che aveva con lo stesso Fondo e con l'Ue, (circa 20 miliardi di euro, ricevuti nel 2008).

L'ultima scadenza per i versamenti sarebbe nel 2014, ma il governo Orban la settimana scorsa ha deciso di anticipare l'estinzione del debito a quest'anno. ''Cosi' la presenza dell'ufficio del Fmi a Budapest che controllava la politica monetaria dell'Ungheria nei termini del contratto di credito, non e' piu necessaria'', scrive Matolcsy nella lettera.

Secondo Matolcsy, l'Ungheria ha dovuto rivolgersi al Fmi e all'Ue nel 2008 a causa dei governi precedenti, che non avrebbero previsto in modo adeguato le conseguenze della crisi monetaria internazionale. Budapest fu salvata solo dalle risorse messe a disposizione dal Fondo e dall'Ue, ma ormai le finanze del paese sono normalizzate: il deficit e' sotto la soglia del 3% del pil, e l'Ungheria e' potuta uscire dalla procedura per il deficit eccessivo della Commissione europea. La presenza a Budapest del Fmi non e' piu necessaria, scrive dunque il governatore, ex ministro dell'Economia.

In una nota il Fondo Monetario da parte sua sottolinea come il mandato della propria rappresentante a Budapest Iryna Ivaschenko fosse in scadenza e, "dal momento che la presenza nei paesi membri avviene su invito" degli stessi, l'Fmi "non intende sostituire" la propria rappresentante. (ANSA).

In Italia milioni di famiglie alla fame

Clochard
Le persone in povertà assoluta passano dal 5,7% della popolazione del 2011 all’8% del 2012

Aumenta in un anno l’incidenza della povertà assoluta in Italia. Come certifica l’Istat, le persone in povertà assoluta passano dal 5,7% della popolazione del 2011 all’8% del 2012, un record dal 2005.

È quanto rileva il report «La povertà in Italia», secondo cui nel nostro Paese sono 9 milioni 563 mila le persone in povertà relativa, pari al 15,8% della popolazione.

Di questi, 4 milioni e 814 mila (8%) sono i poveri assoluti, cioè che non riescono ad acquistare beni e servizi essenziali per una vita dignitosa.


IL MEZZOGIORNO - Una situazione accentuata soprattutto al Sud. Nel 2012 infatti quasi la metà dei poveri assoluti (2 milioni 347 mila persone) risiede nel Mezzogiorno. Erano 1 milione 828 mila nel 2011. Preoccupanti anche i dati sui minori e anziani: quelli in povertà assoluta al Sud sono 1 milione e 58 mila (703mila nel 2011, l’incidenza è salita dal 7% al 10,3%) e gli anziani 728 mila (707mila, l’incidenza è pari a 5,8% per entrambi gli anni).

LE FAMIGLIE - Le famiglie in questa situazione sono il 6,8% su scala nazionale. Dal 2011 al 2012 l’incidenza è aumentata per quelle con tre (dal 4,7% al 6,6%) , quattro (dal 5,2% all’8,3%) e cinque o più componenti (dal 12,3% al 17,2%). Basti pensare che tra le coppie con tre e più figli, quelle in povertà assoluta passano dal 10,4% al 16,2%. Se si tratta di tre figli minori, dal 10,9% si raggiunge il 17,1%. Aumenti della povertà assoluta vengono registrati anche nelle famiglie di monogenitori (dal 5,8% al 9,1%) e in quelle con membri aggregati (dal 10,4% al 13,3 %).

COLDIRETTI - Secondo la Coldiretti, nel 2012 sono aumentate del 9% le famiglie che hanno chiesto aiuto per mangiare. Con un totale di ben 3,7 milioni di persone assistite con pacchi alimentari e pasti gratuiti nelle mense. «Molte famiglie sono cadute in povertà con tanti bambini e anziani che - ha sottolineato l’associazione dei coltivatori diretti - hanno difficoltà economiche anche per garantirsi da mangiare».

Fonte: corriere.it
 
 

martedì 16 luglio 2013

Costi della politica, parlamentari italiani 6 volte più ricchi dei cittadini

Il giornale inglese Economist ha pubblicato una tabella dell'Independent Parliamentary Standards Authority che mette in relazione gli stipendi dei rappresentanti politici con il prodotto interno lordo nazionale. Il nostro Paese è al nono posto dopo Nigeria, Kenya e Thailandia

 

 

 http://www.mondoallarovescia.com/wp-content/uploads/2012/10/costi-politica-parlamentari-deputato-partiti.jpg


I parlamentari italiani sono sei volte più ricchi del cittadino medio. La denuncia arriva da un report dell‘Independent Parliamentary Standards Authority in Gran Bretagna che ha messo in rapporto gli stipendi dei rappresentanti politici con il prodotto interno lordo. E l’Italia si scopre al nono posto: i parlamentari del nostro Paese hanno una busta paga di oltre 16mila euro, il 60% in più rispetto alla media europea. In testa alla classifica Nigeria e Kenya. A fondo classifica Norvegia, Spagna, Sri Lanka e Svezia. Ma anche Francia dove i parlamentari guadagnano circa 14mila, poco più dei tedeschi che raggiungono i 12mila.
A pubblicare la tabella il giornale inglese Economist, dopo che in patria si discute di un probabile aumento di stipendio dei parlamentari: da 66.396 sterline a 74mila. L’11% in più rispetto alla situazione attuale per una misura che rischia di essere profondamente impopolare al tempo della crisi economica. Una polemica che ha spinto i parlamentari della Gran Bretagna a fare una riflessione pubblica sul tema, dopo che tra il 2011 e il 2013 avevano deciso di congelarsi lo stipendio.
E non è l’unica classifica dove l’Italia risulta maglia nera. Secondo l’elenco pubblicato dall’Ocse per quanto riguarda il gap tra stipendi dei cittadini e dei parlamentari in Europa, risultiamo al primo posto.

Fonte

LE BANCHE CREANO DENARO DAL NULLA E LO CONFESSANO

Molti di voi sapranno cosa sia la riserva frazionaria, metodo attraverso cui le banche creano denaro ex nihilo, praticamente dal nulla attraverso un semplice click su un computer.
Qualora voi foste i correntisti di una stessa filiale bancaria, provate ad andare tutti insieme allo sportello di banca a richiedere il vostro denaro depositato. Sapete cosa accadrebbe? L'impiegato allo sportello sarebbe costretto a comunicarvi che i vostri soldi non sono disponibili e di ritornare tra qualche giorno su invito della banca.
Il motivo? I vostri soldi in quella banca NON ESISTONO fisicamente.
La riserva frazionaria, che rende possibile alle banche di svolgere legalmente un’attività criminale molto profittevole, rende così il sistema economico strutturalmente instabile e cioè necessariamente esposto a cicli economici di boom e crisi. 
Come è possibile che un banchiere svolga un'attività criminale senza finire in prigione? Eppure se un semplice cittadino domattina provasse a stampare moneta e provasse a metterla in circolazione potrebbe essere arrestato per violazione del Codice Penale (TITOLO VII: DEI DELITTI CONTRO LA FEDE PUBBLICA - Capo I: DELLA FALSITÀ IN MONETE, IN CARTE - Art. 455 — Spendita e introduzione nello Stato, senza concerto,di monete falsificate), con una pena da 1 a 3 anni di reclusione.
Non me la prendo più di tanto con i giornalisti, visto che la maggior parte di solo sono degli insignificanti guitti del sistema bancario, proni a rispettare il diktat imposto da banche e corporations, rendendo l'informazione completamente assente; però mi chiedo perchè la magistratura continui nel ruolo della grande assente, personificando di fatto il motto giapponese delle tre scimmiette sagge: "non vedere il male, non sentire il male, non parlare del male". 

Questo sistema attraverso cui si arricchiscono le banche private e si impoveriscono i cittadini (attraverso condizioni economiche\contrattuali spesso illecite e con interessi passivi ancora più spesso usurai) è ormai avvalorato anche nelle dichiarazioni e nei documenti ufficiali delle Banche Centrali o del Fondo Monetario Internazionale.
Eccovi di seguito alcune prove e leggete con attenzione le fonti di tali dichiarazioni:

  • "Nell'attuale sistema bancario non c'è bisogno di aspettare che appaiano i correntisti per rendere i fondi disponibili, per poterli dare in prestito o intermediarli. Piuttosto, il sistema bancario di fatto crea fondi propri, depositi, all'atto del prestito stesso. Questo meccanismo può essere verificato nella descrizione del sistema di creazione del denaro in molte dichiarazioni delle Banche Centrali ed è evidente per chiunque abbia chiesto in prestito denaro, creando le voci di bilancio risultanti da esso.

The Chicago Plan Revisited, Jaromir Benes and Michael Kumhof, IMF Working Paper August 2012

  • "Le banche creano il denaro nel momento in cui lo prestano

Money Banking & Monetary Policy -  Federal Reserve Bank of Dallas, May 2007

  • "Le banche estendono il credito con la creazione di denaro ".

Quarterly Bulletin, Q1 Vol 48. No. 1. Bank of England, 2008

  • "Quello che fanno quando concedono prestiti è accettare impegni di restituzione rateale in cambio di credito sul conto dei mutuatari."

Modern Money Mechanics - Dorothy M. Nichols - Federal Reserve Bank of Chicago, May 1961
  • "Il credito delle rate di restituzione (in buona sostanza degli impegni contrattuali con le banche), ovvero la moneta di conto, diventa denaro non appena le banche lo contabilizzano, con l'intento di trattarlo come denaro contante.

Walker F. Todd. Affidavit, Chagrin Falls, Ohio, USA, 05 Dec 2003. (20yrs as attorney & legal officer of Federal Reserve Bank of New York & Cleveland)
  • "Le banche commerciali creano denaro rendicontato ogni volta che concedono un prestito, semplicemente aggiungendo nuovi dollari in deposito sui loro libri contabili a fronte dello IOU di un mutuatario".

I Bet You Thought - Friedman, David H. Federal Reserve Bank of New York, Dec 1977

 Una arringa dell'europarlamentare Godfrey Bloom contro le banche centrali al Parlamento Europeo
Salvatore Tamburro

I Vigili del Fuoco di tutta Italia, in caso di incidente sul lavoro, devono pagarsi da soli le spese sanitarie

di Martina Castigliani

Vigili del Fuoco al lavoro senza assistenza sanitaria: “Condizioni degradanti”Rischiare la vita per la comunità, ma a proprie spese. Dal 31 marzo 2013, i Vigili del Fuoco di tutta Italia, in caso di incidente sul lavoro, devono pagarsi da soli le spese sanitarie. “Noi capiamo la difficile situazione del nostro Paese”, ha commentato Vincenzo Zazzaro, rappresentante sindacale Cgil a Napoli, “ma lavorare in queste condizioni è diventato impossibile.
In oltre vent’anni di servizio non mi erano mai capitate condizioni tanto degradanti”. Sono meno di 30mila per coprire tutto il territorio nazionale, vittime anche loro della crisi economica e da tre mesi ogni volta che sono coinvolti un un’azione devono tenere conto che in caso di incidente per curarsi dovranno mettere mano al portafoglio. 
Il taglio è arrivato dal ministero del Tesoro: a fine dicembre scorso (con una proroga fino al 31 marzo), una nota ufficiale ha annunciato la fine dei finanziamenti destinati all’Ona, Opera Nazionale di Assistenza, ente benefico che si occupava dell’assicurazione per gli infortuni, i danni subiti e le visite mediche. Aspetti che ora sono interamente a carico del singolo. Nel 2008 la prima decurtazione del 50% nei fondi, poi nel 2011 un taglio ulteriore fino a oggi, quando si sono dovute disdire le polizze. E cominciano a vedersi le conseguenze. Uno dei primi episodi è successo a Reggio Emilia, a metà aprile scorso. Francesco Sicilia, rimasto coinvolto in un incendio insieme al collega Reina, viene ricoverato d’urgenza all’ospedale di Parma. Fisioterapia, guanti speciali per proteggere le mani causa ustioni e ricovero. Tutto a carico del Vigile del Fuoco e della sua famiglia. “E’ incredibile”, ha commentato Mattia Scarpa, della Conapo Reggio Emilia, “ci chiedono di dare la vita per lo Stato e poi le nostre vite sembra importare meno. Sicilia potrà tornare al lavoro solo a settembre e nel frattempo tutte le spese sono a suo carico”. Una delle opzioni rimaste, è quella di chiedere una causa di servizio. “Si mandano i documenti all’amministrazione che poi ci dirotta ad una Commissione medica che a sua volta dovrà valutare il rimborso”. Una procedura che prende tempo e che costringe gli operatori ad anticipare i fondi. 
“L’Ona è indebitata”, ha continuato Andrea Zazzaro, “e siamo ridotti a queste condizioni. Stiamo mandando lettere e cercando di far sentire la nostra voce. Quello che non aiuta è avere un governo che cambia continuamente ed interlocutori costretti a prendere posizioni e poi rimangiarsi la parola”. Prima è stata la volta del ministro Anna Maria Cancellieri che aveva assicurato di impegnarsi in materia, poi le elezioni”. La trattativa ora è con il sottosegretario Gianpiero Bocci, in attesa, dicono, che arrivino soluzioni concrete. “L’assistenza sanitaria al personale”, si legge nelle lettere di protesta ufficiali, “non può ricadere sui singoli lavoratori lasciati completamente in balia delle assicurazioni private o polizze che proprio per la pericolosità di lavoro dai Vigili del Fuoco svolto, risultano costose ed inadeguate”. Domande a cui non è ancora stata data una risposta. L’ultimo tentativo a livello istituzionale è quello di Maria Edera Spadoni, deputa del Movimento 5 Stelle che ha presentato un’interrogazione, dove si punta il dito anche sulle cattive condizioni di lavoro: “Il corpo dei Vigili del Fuoco verte in una situazione generale umiliante, sia dal punto di vista della retribuzione ma ancor di più della disparità esistente tra le risorse economiche a disposizione e quelle utilizzate per stipendi dirigenziali o sprechi inutili; sono anni che il Corpo denuncia l’arretratezza di mezzi e il taglio delle risorse, diminuite del 35 per cento in 10 anni in conseguenza soprattutto dei disastrosi «tagli lineari» di precedenti manovre economiche”. 
Una condizione di precariato che danneggia l’efficienza e rischia di non garantire una corretta assistenza. “La cosa che dispiace di più”, ha concluso Zazzaro, “è il non poter assistere i cittadini come vorremmo. Ci chiedono sempre più impegno e spesso siamo limitati nei mezzi e nelle possibilità. Lavorare così è diventato davvero difficile”.
 
 
 
Commento di Oliviero Mannucci: Meno sanità per tutti, la scuola a scatafascio, le carceri italiane come gironi danteschi dell'inferno, tasse alle stelle e una conseguente recessione, stanno facendo recedere l'Italia a un paese del terzo mondo. Intanto i nostri politici, continuano ad incassare valigiate di soldi ogni mese, sia a livello individuale che a livello di partito. Quando c'è da tagliare i servizi per i cittadini, sono sempre molto solerti, ma quando c'è da tagliare i loro stipendi e tutti i loro privilegi, spesso "si dimenticano". Signori, l'avete capito in che paese viviamo? Spero di si! E' ora di mandarli fuori a calci nel culo! Sbaglia il Movimento 5 Stelle  che vuole fare le cose con le buone. Ci vuole un intervento molto più deciso per cacciareuna classe politica ladra ed iniqua,  incapace, che ha portato il paese al fallimento!  E' ora di scollarli dalle poltrone, quanto volete aspettare ancora!? Io sono pronto, e voi!!!!!

lunedì 15 luglio 2013

Calderoli, perchè prima di parlare non ti assicuri di aver collegato il cervello? Ammesso che tu ce l'abbia!

"Kyenge orango", Calderoli nel mirino

 

http://www.unita.it/polopoly_fs/1.510920.1373800572!/image/4201700092.jpg 

"Carissimo" Calderoli, oltre a chiedere scusa alla ministra Kyenge, dovrai chiedere scusa anche alle scimmie!!! Ma ti se mai visto allo specchio, sembri un prototipo di Frankestein!!!!

 http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a7/Frankenstein%27s_monster_(Boris_Karloff).jpg/200px-Frankenstein%27s_monster_(Boris_Karloff).jpg

 

Insulti a un comizio, poi le scuse al telefono. Napolitano: "Colpito e indignato". La sinistra invoca le dimissioni del leghista


«Quando vedo le immagini della Kyenge non posso non pensare alle sembianze di un orango». È il vicepresidente del Senato, Roberto Calderoli, a paragonare l'aspetto fisico del ministro dell'Integrazione, Cecile Kyenge, a quello di una scimmia. Calderoli lancia la sua invettiva in pubblico dal palco, durante una festa della Lega a Treviglio e pur avendo già accumulato un ricco curriculum di sparate scioccanti con questa supera se stesso. Soprattutto quando a sua difesa spiega che si tratta di «una battuta simpatica» che «non intendeva offendere». Qualunque intenzione avesse il vicepresidente del Senato riesce a raggiungere tre obiettivi, tutti negativi. La prima è l'inevitabile condanna unanime da parte di (quasi) tutto il mondo politico da dove si leva anche la richiesta di dimissioni immediate dalla carica in Senato. La seconda, più gravida di conseguenze, è che con il suo insulto Calderoli rischia di spazzare via la possibilità di una seria discussione sulle scelte politiche da fare in materia di immigrazione. A cominciare dalla richiesta del riconoscimento dello ius soli avanzata proprio dalla Kyenge.
Infine la terza conseguenza è che le parole di Calderoli diventano la goccia che fa traboccare il vaso della pazienza di Giorgio Napolitano. Il capo dello Stato è indignato oltre che preoccupato per quella che appare come una deriva verso «l'imbarbarimento della vita civile» nella quale l'insulto di Calderoli è soltanto l'ultimo gravissimo episodio. L'ennesimo misfatto che si aggiunge alle minacce di morte scatenate su Facebook contro Mara Carfagna e infine al caso più grave: l'incendio del liceo Socrate di Roma già catalogato come atto di terrorismo. Fatti gravi che inquietano il Quirinale e che verranno affrontati da Napolitano in un incontro con la stampa il 18 luglio.
Alle parole di Calderoli il ministro replica con distacco. «Non le prendo come un'offesa personale ma mi rattristano per l'immagine che danno dell'Italia - dice la Kyenge - A Calderoli come persona non ho nulla da dire ma chiedo che come rappresentante delle istituzioni tragga le conseguenze insieme al suo partito». Solidarietà alla Kyenge da parte di tutti i rappresentanti del governo. Dal premier Enrico Letta che definisce «inaccettabili le parole del senatore Calderoli», al ministro dell'Interno, Angelino Alfano che ha chiamato al telefono il ministro per offrirle «solidarietà per l'insulto vergognoso che le è stato rivolto».
Pure il capogruppo del Pdl alla Camera, Renato Brunetta, condanna «le offese gratuite e gli insulti a sfondo razziale» mentre Pier Luigi Bersani definisce la Kyenge una donna straordinaria e le parole di Calderoli «bestialità». Calderoli reagisce, spiega che non ha nessuna intenzione di dimettersi ma chiede scusa al ministro con una telefonata in serata («Ci siamo chiariti»), invitandola alla festa leghista di Bergamo. «Se Kyenge si è offesa me ne scuso - dice Calderoli - Accetto di catalogare la mia battuta come infelice ma non voglio sentire accuse di razzismo da parte di politici che sono razzisti ogni giorno con i cittadini del nord. E per farmi perdonare dal ministro Kyenge la invito ufficialmente a un dibattito alla Berghemfest in agosto». Il segretario leghista Roberto Maroni lo bacchetta con un «ha sbagliato», riconoscendo che si è scusata. «Noi non attacchiamo le persone -aggiunge- ma contrastiamo le idee sbagliate». Le dimissioni? «Deciderà lui».
Calderoli ribatte: «Non vorrei che si parli delle mie dimissioni per evitare di parlare di quelle di qualche altro ministro per la vicenda Ablyazov - insinua - Una battuta infelice non può essere paragonata ai danni che questo Governo sta facendo al Paese». Il segretario della Lega Lombarda, Matteo Salvini, suggerisce su Facebook che si parli di questo per evitare altri argomenti. «Molti giornalisti italiani mi fanno schifo - dice - A qualcuno scappa una battuta del cavolo e diventa la notizia del giorno». Per Salvini si dovrebbe parlare di «pensioni da fame e aziende che chiudono».
È ipotizzabile che Calderoli debba dimettersi? No a meno che non lo faccia di sua spontane a volontà ma il leghista ha già detto che non ha alcuna intenzione di farlo. Non è possibile costringere alle dimissioni il presidente, il vicepresidente e altri componenti degli uffici di presidenza di Camera e Senato in base al regolamento. Anche se il presidente della Camera, Laura Boldrini twitta «quelle di Calderoli sono parole volgari, civili e indegne per le istituzioni». E c'è chi per condannare gli insulti non trova di meglio che insultare a sua volta. Come Andrea Vecchio di Scelta Civica che parla di «grugni leghisti» da studiare con le teorie di Lombroso e Giancarlo Galan (Pdl) che invita Calderoli a studiare il comportamento degli oranghi «che avrebbero molto da insegnargli».